Fatma Bouvet de la Maison Neuve
Fatma Bouvet de la Maison Neuve - L'île aux mères

Fatma Bouvet de la MaisonneuveL’ile aux mères“, raconte Eve. Eve qui va découvrir la douceur de l’échange et de la sensualité que peuvent avoir des femmes et des mères entre elles.

Une envie de dire, de raconter, et parfois de se raconter, de passer de l’autre côté de la feuille blanche, de réussir à franchir cette frontière invisible qui nous sépare de ce désir profond d’écrire, nous paraît impossible.

Car écrire ne reste souvent qu’un vœu pieux, une formidable envie de…C’est une démangeaison qui reste figée quelque part dans votre âme, votre cerveau, mais aussi dans votre coeur. Une mission impossible.

Prendre sa plume ou son clavier pour mettre en phrase, un texte qui devra, et quoi qu’il en soit plaire au plus grand nombre, est une expérience que peu d’entre nous réussisse.

Rédiger son premier roman, ne va pas de soi, c’est presque même tout l’opposé. Fatma Bouvet de la Maisonneuve vient de réussir à mettre en œuvre et à imprimer son premier récit. Il s’intitule “L’île au Mères“.

L’île au Mères, est une histoire dans l’histoire, c’est d’abord l’histoire de l’écriture d’un premier roman qui a été difficile à apprivoiser, à mettre en mots et en pages. C’est aussi, un récit qui  raconte Eve, une femme qui se retrouve, au milieu d’autres femmes.

Eve qui va découvrir la douceur de l’échange et de la sensualité que peuvent avoir des femmes et des mères entre elles. Un lieu où, se mêlent, les joies, les douleurs, les plaisirs, et les peines, de vies de femmes. De femmes qui parlent de la maternité.

Femmes on vous aime déjà, car la vie ne serait pas sans vous.

Fatma Bouvet de la Maisonneuve psychiatre de profession, dit et avant tout, qu’elle aime lire puis écrire, puis partager mais aussi et bien sûr, raccommoder les vies des personnes qu’elle reçoit dans son cabinet.

Passer à la fiction a été pour elle un vrai défi. Mais pour Fatma Bouvet de la Maisonneuve, L’île au Mères a été aussi, le début d’une nouvelle aventure d’écriture, de pouvoir dire les choses autrement.

L’île au Mères parle de ce qui est beau et juste. “Aziz et Marie les embrassent. Marie se rapproche d’Eve, elle, habituellement distante. Elle lui serre doucement le bras. Pour une fois, elle n’a pas filé vers l’intérieur, pour entamer les chantiers de la journée.

Fatma Bouvet de la Maison Neuve - l'ile aux mères - Interview

L’île aux mères : le Pitch

Depuis Ulysse, les héros de nos livres ont pris l’habitude d’aller chercher leur salut dans les îles. De Robinson à Monte Christo, qu’on parte libre ou les fers aux pieds, c’est en creu-sant qu’on y trouve sa vérité.

Discrète voire effacée, Ève n’a rien d’une héroïne, si ce n’est le courage d’affronter la réalité  : elle n’aura jamais d’enfant. Pour accepter d’abandonner tout espoir, la voici qui débarque.
Sur l’île aux mères, pas de rayon vert, pas de sauvages hostiles ou accueillants, mais des femmes, rassemblées par les hasards du tourisme. A la manière de l’Heptaméron, elles viennent tour à tour déposer leur histoire, leurs joies, leurs tourments surtout, aux pieds d’Ève. Dans la douceur de la fata morgana, ce phénomène étrange ou terre, ciel et mer se mêlent, les récits alors s’enchevêtrent, tentant de partager le secret le mieux gardé du monde, celui qui lie les mères à leurs enfants.

  • ASIN : B08XLCGCQM
  • Éditeur : Pont 9 éditions 
  • Langue : Français
  • Broché : 209 pages
  • ISBN-13 : 979-1096310647