1ère édition du Festival International des Films Berbères

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    La première édition du festival international des films berbères (FIFB) s’ouvre cette année avec le printemps berbère, symbole de la liberté retrouvée. Cette nouvelle manifestation est à l’initiative de Monsieur Mohamed Saadi, fondateur de l’Association du “Festival International des Films Berbères“, Président fondateur de la chaîne Berbère Radio Télévision (BRTV), pour qui la création du festival s’inscrit dans une continuité de ses actions menées au cours de ces 10 dernières années dans les domaines de l’audiovisuel et du cinéma.

    Festival film berbères

    C’est Le cinéma « les 3 Luxembourg » qui l’accueillera cette année du 19 au 21 avril 2013. Situé en plein coeur de Paris dans le 6ème arrondissements, ce cinéma est reconnu pour sa programmation Art et Essai depuis des années.

    Compétition

    Courts métrages, Documentaires

    Le festival mettra en compétition 6 courts métrages et 6 documentaires. Un prix sera décerné dans chaque catégorie par un jury composé de trois personnes présidé par Daniel Prévost.

    Rétrospective de cinéma Berbère Cinq longs métrages hors compétition seront présentés pendant ces trois jours de festival sous forme de rétrospective de films à thématique Berbère :

    • “La Montagne de Baya’”d’ Azzedine Meddour,
    • “La maison jaune” d’Amor Hakkar,
    • “Arezki l’Indigène” de Djamel Bendeddouche,
    • “Machaho” de Belkacem Hadjadj
    • “Un choix dans la douleur” de Kamel Tarwiht

    Hommages

    Albert Camus, Abderrahmane Bourguermough, “Indigènes”

    Albert Camus sera mis à l’honneur tout au long du Festival à l’occasion du 100ème anniversaire de sa naissance, notamment à travers la diffusion du film ‘L’étranger’ de Luchino VISCONTI (1967), réalisé à partir de l’oeuvre d’Albert Camus et du film « Le premier homme » de Gianni AMELIO (2012). Deux films seront également mis en avant lors de ce festival : ‘La colline oubliée’ d’Abderrahmane Bourguermough permettant par la même occasion de rendre hommage à l’oeuvre de Mouloud Mammeri et ‘Indigènes’ de Rachid Bouchareb.